samedi 15 décembre 2007

SANTO DOMINGO

Nous y serons allés... Première ville des Amériques, selon les standards des colonisateurs, évidemment. Car, ne pas l'oublier, on y vivait déjà, avant l'arrivée des Conquistadores. Les Indiens Taina.
Départ, donc, à 6h30 du matin, de Sosua, plus précisément de Los Charamicos. Autobus ultramoderne de Caribe Tours. L'air est "maximalement" conditionné! On y gèle! Arrêt à Santiago. Entrée à SD vers 11h30. Taxi jusqu'à l'Hôtel Frances, stratégiquement situé, en plein coeur de la vieille ville. Nous entamons aussitôt une visite pédestre des alentours, car nos chambres ne sont pas encore prêtes.
1. Alcazar. Tout y est d'époque. Ce dont je me souviendrai? L'emplacement stratégique dans l'estuaire de cette rivière dont j'oublie le nom. Encore? Les bancs aux fenêtres, qui permettent de se rafraîchir!
2. Musée maritime. Fermé en raison de travaux. Classé dans le chapitre des occasions ratées.
3. Ruines de San Francisco. Premier monastère d'Amérique. Ruines semblables à celles que j'ai visitées à Antigua de Guatémala.
4. Vieil Hôtel de Ville. Tout blanc. Près du Parque Colon, sur Conde.
5. Cathédrale Santa Maria de l'Incarnation. Jouxte le Parque Colon. Y sommes entrés. Nous avons tellement visité de vieilles cathédrales ces dernières années, que j'en ressors un peut désabusé. En reparlerons un peu plus loin.
6. Parque Colon. Coeur de la vieille ville. Aussi vieux qu'icelle. Dieu que je m'y sens bien
7. Zumo de naranja. Sous un arbre centenaire qui borde le Parque. Je demande au serveur le nom de cet arbre: "Alamo africano", me répond-il, "vieux de plus de cent ans". J'ouvre mon dictionnaire... Alamo, c'est un peuplier! Ses feuilles sont bien celles des peupliers de chez nous!

Nous irons souper ce soir-là au restaurant La Briciola, sur Arzobispo Merino. Restaurant italien recommandé par Le Routard et Annie. C'est un enchantement. "Comida" haut-de-gamme. Les tables sont éparpillées dans un préau orné de fleurs et de lumières. Il ne pleuvra pas de tout le souper. Fr. n'oubliera jamais sa salade César et Bé. son pianiste... Moi, c'est le dessert qui me restera! Fraises et crème glacée. Ça semble banal, je le sais, mais je n'en ai jamais mangé de meilleur!

Retour à pied à l'hôtel. Nous sommes vannés. Nuit sans histoire.

Je vous reviens demain pour la suite! Delhorno

Aucun commentaire: